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Une fois pris le D3 à Chemin de Ceinture au-dessus de Saint-Benoît, on cherche la petite route qui mène à Sainte-Maguerite dans un dédale de chemins canniers. Le portail du parc est bien ouvert, et nous sommes accueillis par la floraison — nous sommes le 18 mars 2014 — des Lingue-cafés et des Quinquinas pays à l’entrée.


Quinquina Pays (4)++

Quinquina pays

Photo de Josette VINET

G. FONTAINE nous fait visiter les espaces dégagés où sont plantées de nombreuses espèces endémiques qui en pleine lumière se développent au maximum. Nombreux sont les arbres en fleur ou portant déjà des fruits.

Les premiers goyaviers mûrs font l'objet d'une dégustation sans retenue.

Nous rencontrons une équipe au travail en train de couper entre autres envahissantes les Bois de Noël. Nous les saluons et bavardons avec eux avant de les quitter en les remerciant pour leur accueil sympathique et le travail accompli.

Puis nous entamons la montée le long du sentier qui monte dans la Forêt de Sainte-Marguerite sous le couvert des taillis et de grands arbres. Il est manifeste que les goyaviers sont en train de gagner du terrain.

Parmi les plantes qui retiennent l'attention, les orchidées, dont de nombreuses comètes.

G. FONTAINE entr'aperçoit un Phelsuma borbonica qui se dérobe très vitre aux regards.

Insensiblement la végétation change et nous arrivons bientôt dans la pandanaie alors que commence à tomber la pluie du jour. Le sentier est détrempé et boueux depuis longtemps et les caillebotis en place sont appréciés.

Sur le chemin du retour G. FONTAINE fait remarquer la présence d'une jeune Liane de clé, certainement l'un des spécimens les plus remarquables dans ces parages.

Le pique-nique avalé, nous rejoignons quelques membres de l'équipe qui nous a accueilis ce matin en train de photographier des orchidées en fleur haut perchées sur un arbre, puis les fruits du Bois de banane un peu plus loin. Les fourmis de feu attaquent.

Nous entamons ensuite la visite du sentier botanique où des affiches très bien faites avec photographies de spécimens végétaux à proximité aident à leur identification, même si dans le fouillis vert et la pénombre des taillis il est parfois facile de se méprendre.

C'est une bonne façon de termienr cette visite à la Forêt de Sainte-Marguerite.

© Cire 2014